Anny Duperey
 

Anny Duperey : Quand elle dansait

 

Dernière modification : 1 juillet 2004

 

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La comédie des Champs Elysées
D'après Martin Sherman
Adaptation : Anny Duperey
Mise en scène : Patrice Kerbrat
Assistance réalisation : Anne Bourgeois
Chorégraphie : Caroline Marcadé
Production : Jacqueline Cormier

Avec :
Anny Duperey
Catherine Rich
Oleg Menshikov
Michèle Moretti
Jérôme Berthoud
Gian-Franco Salemi
Emanuelle Laforge
Louise Vincent

 

Résumé

   En 1921, dans l'appartement parisien, l'artiste Isadora Duncan qui révolutionna le monde de la danse, vit une période de déclin, dans le souvenir de ses enfants perdus, et un relation passionnée avec le poète Russe Sergeď Essenine. Elle veut trouver de l'argent pour son école de danse en Russie. Elle croise des personnages qui seront marqués par son souvenir pour toujours.
   L'histoire d'une grande artiste qui marqua son temps.

 

Commentaires

   Cette pièce aurait pu être un succès. Anny Duperey a adapté la pièce de Martin Sherman, le travail a duré deux ans - avec les répétitions. Mais voilà, malgré le talent des commédiens, les décors, la musique, et les chorégraphies, une personne s'est mis en travers de ce succès : la productrice. Pour des raisons inexpliquées, elle avait décidé, avant même la première, que la pièce ne dépasserait pas les 30 représentations. En effet, la pièce ne fut joué que 28 fois. Il ne reste maintenant plus rien !
   Dommage... !

 

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Revue de presse

« Voilà un projet charmant dont on est pas loin de penser qu'il n'a pas grande utilité. Il s'appuie sur une pièce américaine de Martin Sherman dont Anny Duperey est tombée amoureuse : Quand elle dansait, ou une folle journée dans la vie de la danseuse Isadora Duncan (1877-1927).
[...] Sous la direction élégante, une fois encore, mais un peu lâche de Patrice Kerbat, ils nous proposeront une méditation sur la condition de l'artiste, ses engagements comme ses renoncements. C'est souvent drôle, distrayant, mais, au bout du compte, on s'en fiche un peu. La distribution est emmenée par Anny Duperey. Elle fait la preuve de toutes ses qualités : présence, distinction, humour. Mais elle manque cruellement de profondeur. Elle paraît être la première spectatrice de ses emportements, de ses joies, de ses failles, extérieure au spectacle en somme et nous avec elle. »
Olivier Schmitt, Le Monde

 

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