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Le Voyage de la Grande-Duchesse |
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Dernière modification : 24 avril 2006 |
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Accueil |
Réalisateur : Joyce Buñuel |
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Anny Duperey : Alice de Hassenbourg et Éva Bullot |
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Résumé |
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Alice de Hassenbourg, la Grande-Duchesse, gouverne son petit duché avec l'aide de son Premier Ministre trop intrusif, Monclar. Un jour, par l'intermédiaire de sa femme de chambre Marina, elle apprend dans la presse à scandale, que son ex-majordome mourrant, Pierre, est secrètement amoureux d'elle. Elle décide de se rendre à son chevet pour lui avouer que cet amour est réciproque. Elle part donc pour Genève où l'homme s'est retiré, et où justement doit se tenir une importante Conférence Internationale. Éva Bullot, une comédienne cabotine et vulgaire, qui est aussi le sosie de la Grande-Duchesse maniérée, gagne sa vie en l'imitant. Par un concours de circonstances, Alice se fait remplacer par Éva à la Conférence, et rejoint, de son côté, son amour de toujours. Mais la comédienne se fait assassiner, et Alice n'a pas d'autre de choix que d'abandonner le pouvoir à sa nièce Isabelle et en profite pour vivre avec Pierre. |
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Revue de presse |
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« Juste dire qu'ici la caricature redevient un art, et, mâtin, que c'est bon ! Dire encore que ça bondit et rebondit impeccablement, que les comédiens (Anny Duperey en tête couronnée , François Marthouret en Premier ministre compassé, parfait, Philippe Khorsand, impeccable impresario survolté, et le toujours irréprochable Jean-Marie Winling en majordome enamouré) font tourner ce manège avec un brio roboratif. » « On se laisse donc prendre par cette farce sans prétention, « une fable à la moralité assez incertaine », selon l'expression d'Annie Duperey. » |
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Vidéos |
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Pendant le tournage du téléfilm à l'automne 2002, les caméras de TSR ont suivis quelques jours de tournage : |
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Anecdote |
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Anny Duperey interprète deux personnages en meme temps. Les scènes où Alice et Éva se font face ont donc été tournées avec une doublure. Mais uniquement lorsque l'on voit à l'écran une épaule ou l'arrière de la tête de son double. Pour les autres plans, Anny Duperey a joué seule, en fixant un bout de Scotch rouge collé sur le bord de la caméra, parce que quelqu'un d'autre aurait joué trop différement d'elle-même, et il lui fallait donc constamment imaginer sa propre réaction en face. |
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Commentaires |
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Ce téléfilm est une comédie à la fois romantique et loufoque. Le simple jeu des acteurs (François Marthouret est superbe dans le rôle du premier ministre amoureux) suffit à nous faire passer une bonne soirée. |
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